MétaKwark et métavers
MétaKwark est un métavers éducatif.
Ok : « éducatif » c’est clair, mais qu’est-ce qu’un « métavers » ?
Il s’agit d’un univers virtuel qui relie les utilisateurs en les ancrant dans une réalité commune où ils peuvent agir, à travers leurs propres avatars, selon les biais et les usages du monde physique.
Inspiré d’un roman SF de Stephenson, le « métavers » incarne pour Mark Zuckerberg ni plus ni moins que l’avenir d’Internet ; le « web 3.0 ».
Un distanciel en présentiel
Concrètement, MétaKwark propose un environnement virtuel de formation (initiale ou continue) modelé sur la réalité d’une session ou d’un cours. Il fédère l’ensemble des acteurs dans une salle virtuelle (copiée sur une salle classique) au moyen d’avatars susceptibles de se déplacer, parler et interagir normalement. L’ensemble des acteurs, cela signifie évidemment chacun des participants, mais aussi le formateur ou le prof. Avec le métavers éducatif, tout le monde évolue en temps réel dans le même environnement virtuel d’apprentissage, exactement comme dans une formation en présentiel.
Sur la base de selfies, MétaKwark génère ainsi en moins de 2 minutes des avatars suffisamment ressemblants pour suggérer un sentiment partagé de présence virtuelle. Parce qu’il donne à chacun l’impression de la présence effective des autres et de la sienne propre, il va plus loin que la simple VR du type serious game. Autre avantage, sur les formes alternatives de réalité augmentée, il ne nécessite aucun outil ou accessoire spécifique (logiciel, lunettes 3D, etc.). Il est accessible sur Google Chrome depuis une adresse URL, tout simplement.
En définitive et grâce à la technologie novatrice des avatars, MétaKwark permet un apprentissage en distanciel plus qualitatif, en levant les objections faites jusque-là à l’e-learning ; à savoir l’isolement, la déconcentration et la perte d’interactions. Enfin, et ce n’est pas le moindre argument à notre époque de transition énergétique, il permet de consommer 10 fois moins d’énergie qu’une session visio classique.
Alors : qui veut essayer ?
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